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 _Andrea Della Robbia - Allegria || UC ||

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Andrea F. Della Robbia

Andrea F. Della Robbia


Nombre de messages : 16
Age : 31
Localisation : : En boîte, ou bien devant mes consoles de jeux, ou bien entre les jambes de quelqu'un, ou bien... ?
Citation : : Don't say goodbye tonight, Adam...
Âge [RP] : : 20 ans
Date d'inscription : 23/12/2007

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MessageSujet: _Andrea Della Robbia - Allegria || UC ||   _Andrea Della Robbia - Allegria || UC || EmptyLun 24 Déc - 16:52




    I. Identité.

  • Prénoms & Nom : Andrea Fabio Della Robbia.
    • Andrea : Prénom italien très populaire signifiant « homme ».
    • Fabio : Signifie « issu de Fabius », illustre famille romaine du Ier siècle.
    • Della Robbia : « Della » est la contraction de « di la » et « Robbia » est le nom italien de la garance, une plante vivace et grimpante. Serait-ce le côté « parasite increvable » d'Andrea ?
    • Surnom : Andy.

  • Date de Naissance : Andrea est né le 7 Août 1987, à Naples.
  • Sexe : Masculin. Jeunes filles, vous vous en apercevrez bien vite... <3
  • Métier : Dealer et voleur dans sa jeunesse, il s'est désormais reconvertit en journaliste indépendant, avide de scandales et d'odieux commérages, avec son meilleur ami Adam. Leurs articles assassins et clichés indécents se vendent bien, pas encore à prix d'or, mais ça leur permet de subvenir à leurs besoins. Mais heureusement qu'il y a le grand-père Demetrio pour les approvisioner en fric, sinon, adieu le nouveau jean Diesel ! Catastrophe ! Et si jamais Adam refuse de lui donner de l'argent (ce qui n'arrivera jamais), il y a toujours Madame Della Robbia qui lui envoie de l'argent, de façon spontanée, dans le dos se Monsieur Della Robbia. A part ça, Andy est toujours en contact avec ses amis de la pègre et, bonne poire, n'hésite pas à les aider en cas de besoin.


    II. Physique.

    Cette silhouette mince et agréablement musclée qui arpente avec insouciance la capitale anglaise, beaucoup l’ont déjà vue. Son éternel jean Diesel qui laisse largement entrevoir son boxer Hugo Boss, sa chemise de marque à demi déboutonnée, ses chaussures à l’italienne, ses lunettes de soleil extra fashion, sa Vogue superslim entre les lèvres, son iPhone collé à l’oreille et son sac négligemment rejeté sur son épaule. Andrea Della Robbia a tout du tombeur frimeur sur les bords. Le Latin Lover par excellence. Bien sûr, cette apparente richesse n’est que superficielle, mais nous n’en parlerons pas ici.

    Ses cheveux, blonds comme le sable napolitain, ne sont jamais vraiment coiffés : il arbore toujours les même épis désinvoltes qu’il structure en se passant la main dans les cheveux. C’est pratique « le matin » quand il se réveille à 14h00 et qu’il se fait pourrir la gueule par Adam au téléphone parce qu’il a raté le scoop du siècle, et qu’il n’a évidemment pas le temps de se faire des bigoudis. Et au pire, si sa chevelure est vraiment honteusement incoiffable, il peut toujours se mettre une casquette style Gavroche sur la tête. Mais il semble que ce petit côté sauvage plaît aux filles, alors Andy refuse que quiconque touche à ses mèches dorées – ou rouges, ou violettes, ou bleue, ou noires, ou roses selon son humeur !

    Andrea possède de jolis yeux qui, selon la luminosité, passent du bleu clair au gris métallique. Il en est plutôt fier et est tout à fait conscient du fait qu’ils font craquer la gente féminine. Très doué pour faire le regard de chien battu, il peut ainsi se mettre 90% de la population dans la poche. C’est limite si les gens ne se mettent pas exprès dans des situations délicates pour qu’il puisse obtenir son salaire. Mine de rien, sous ses airs d’imbécile heureux, c’est un calculateur. Un calculateur du dimanche, certes, mais un calculateur quand même. Enfin ses iris lumineux et pétillants ont au moins le mérite de pouvoir le sortir des embrouilles mineures dans lesquelles il se fourre (souvent), sinon à l’heure qu’il est, son cadavre criblé de balles serait en train de pourrir au fond de la Tamise. Oui, Andy adore foutre la merde, mais c’est une autre histoire. Cependant, on ne peut nier que ses beaux yeux débordants de sincérité, de joie et d’étoiles ont quelque chose de rassurant, d’attirant et d’irrésistiblement sympathique.

    Que dire de cette jolie bouche qui ne fait que débiter des conneries à longueur de journée ? Toutes les personnes qui l’ont essayée (et Dieu sait si elles sont nombreuses !) disent que ces belles lèvres pleines et douces sont très agréables à embrasser. C’est vrai que sa bouche bien dessinée, avec ce sourire radieux et cette moue insolente, a de quoi plaire. Nombre de gens pourraient vous décrire avec ravissement le sourire qu’il arborait la toute première fois : franc, sans artifice, rayonnant et chaleureux. Peut-être seriez-vous la prochaine (voire le prochain) à y goûter ? Notons que sa langue est percée d'une bille d'argent appellée plus communément piercing. Il paraît que ça fait un effet fou quand on embrasse.

    En vérité, s’il n’est pas encore sur la paille, c’est sûrement grâce à son beau visage. Des traits agréables, un nez légèrement en trompette – bien pratique pour s’en mettre plein les narines – , une peau anciennement hâlée que le soleil londonien a fait pâlir… Un minois toujours, c’est certain, éclairé par un large sourire. Les moues – tantôt joyeuses, tantôt perplexes ou tantôt dégoûtées – qui viennent animer son visage rieur en ont déridé plus d’un. C’est vrai qu’il est assez drôle de voir Andrea loucher en serrant les lèvres devant un plat qu’il ne connaît pas ! (On la retrouve donc souvent, car à part le junk food et les spaghettis, il ne connaît pas grand chose !)
    Si on recule un peu pour avoir une vue d’ensemble, la plupart des gens s’accorderont à dire qu’Andy est bien foutu. Musclé juste comme il faut, bourrelets inexistants, jambes interminables, hanches étroites, torse glabre, mains et doigts fins, épaules solides mais pas trop. En deux mots, il est bien proportionné. Il faut dire que les foot sur la plage, les courses-poursuites dans les rues napolitaines et londoniennes et les prouesses physiques lors d’un méfait condamnable par la loi, ça sculpte le corps ! Avec une taille d’1m81 pour 68kg de muscles, notre fils de mafioso n’en pas en reste. Sur son torse, juste sous l'épaule droite, est tatoué une croix, qui est notament un des symbole de la mafia italienne.

    Au niveau vestimentaire, Andrea se révèle être un garçon assez varié, mais restant dans le registre « fashion, j’me la pète avec mon style super recherché ». Les seuls détails qui ne changent presque jamais, c’est son jean qui doit être un Diesel, sa clope au bec – Vogue Superslim, Lucky Strikes, Black Stones Cherry et éventuellement les Marlboro Light qu’il taxe à Adam – et ses lunettes mouche Versace. Cependant, il se peut qu’il porte un pantalon en cuir – qui galbe joliment la fesse – ou qu’il troque ses eyes wear Versace pour des lunettes d’aviateur aux verres colorés. Il aime porter des chaussures à l’italienne, des bottes de cow-boy, des baskets Adidas, des Converses et des bottes de moto. Longs manteau style « Mello », blousons en cuir ou en jean, trench courts ou longs et redingotes customisés font partie de sa vaste garde-robe de fringues griffées. Je ne vais pas tout vous énoncer ici, mais soyez sûr que le résultat est toujours explosif.



    III. Caractère.

    Témoignage de Mr Virginio Della Robbia.


    « Mon fils est le pire des parasites que la Terre ait jamais portée. C'est un virus, un déchet, un voyou, le fond du fond ! Depuis qu'il est enfant, il a voué sa vie à nous empoisonner la vie, à ma femme et moi. A à peine deux ans, il était déjà insortable. Au restaurant, dans l’avion, dans la rue… Partout il hurlait, faisait des caprices, importunait les gens, courrait dans tous les sens… Un vrai supplice ! Je me souviens encore à quel point nous avions honte de lui. Même maintenant qu’il s’est enfuit, penser à lui m’est douloureux. J’aimerais bien le voir revenir en rampant, à implorer notre pardon, pour pouvoir l’écraser moi-même. En plus, c’est un imbécile. Il est totalement incohérent, illogique… Quand il dit qu’il va chez le coiffeur, on le retrouve au supermarché en train de voir s’ils ne vendent pas des chiots ! C’est vraiment n’importe quoi ! Je suis sûr qu’il fait ça pour me rendre fou ! Il n’allait jamais à l’école, préférant se baigner dans la Méditerranée et jouer au football avec d’autres voyous ! D’ailleurs, il prenait toujours un malin plaisir à me contredire, à faire le contraire de ce que je lui demandais. Je le revois encore, vautré sur la canapé, entouré de chips, de bonbons et de packs de bière, à jouer à un de ses trucs idiots avec une mannette, là… Plusieurs fois, je l’ai surpris à regarder des films indécents, et le pire, c’est qu’il n’éprouvait aucune gêne. Il a même poussé le vice jusqu’à me demander de participer ! Quelle honte ! Comme les fois où il ramène ces filles de mauvais genre et ce garçon débauché à la maison… Que ce soit avec l’un ou les autres, les toujours le même manège ! On le retrouve nu comme un ver dans sa chambre ! Je le déteste. D’ailleurs, à partir de ce moment où l’on s’est violemment disputé et qu’il a fugué, je l’ai déshérité. Bien fait pour lui. En fait, je pourrais résumer ma relation avec mon cet imbécile en une seule phrase : Je n’ai pas de fils. »


    Témoignage de Mrs Elena Della Robbia.


    « Andrea… Je dois dire qu’ils nous a causé beaucoup de problèmes. Malgré tout, il reste mon fils et je l’aime. Même s’il ne fait que des bêtises, je le trouve adorable, comme un jeune chiot encore tout fou. Je sais qu’il a bon fond et qu’il n’est pas méchant. Il est juste jeune et bête. Il ne faut pas lui en vouloir. Je dois dire que ça me manque de le voir se réfugier dans mes bras après une énième dispute avec son père. Il est si mignon, si innocent, si naïf, si immature… Andy vit dans son monde, un monde bien à lui. C’est vrai qu’il est dur à suivre et que ses agissements sont souvent décousus et insensés, mais j’imagine qu’il possède sa propre logique. Il n’y a que ce jeune homme, Adam, qui le comprenne réellement, je crois. Je suis heureuse qu’il se soit trouvé un compagnon pour affronter la vie, il en aura besoin. Surtout depuis qu’il est parti. Son départ m’a brisé le cœur, mais je ne lui en veux pas. Tout ce que je peux faire pour l’aider, c’est l’appeler et lui envoyer de l’argent ; tout ça, bien sûr, dans le dos de son père. Mais je suis inquiète pour lui… Il a toujours eu un don pour s’attirer des ennuis et des complications. Il me dit toujours que tout va bien, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’il me ment pour me rassurer. Londres est si dangereuse pour un gamin comme lui. La drogue, l’alcool, le crime… Sans personne pour le surveiller. Le connaissant, je suis certaine qu’il collectionne les ennemis et les problèmes. Mais je l’imagine bien, se faufilant entre les uns et les autres, sans se rendre compte qu’on brandit un poignard dans son dos ou un pistolet entre ses omoplates… »


    Témoignage de Miss & Miss Belinda et Donatella Della Robbia.


    « Notre frère ! Peuh ! Un débile profond ! Il cherche les emmerdes et c’est bien fait pour lui s’il a été déshérité par père ! C’est un débauché et un idiot ! Ça ne nous étonnerait pas qu’on le retrouve au fond de la Tamise avec une balle dans la cervelle et la gorge tranchée ! »


    Témoignage de Miss Rosa Feltracco.


    « Andy, le petit Andy. Quel garçon adorable ! Toujours débordant de vie, toujours le sourire aux lèvres. C’était mon préféré, mon favori. Je lui donnais toujours des biscuits et des boissons lorsqu’il errait, désoeuvré et puni pour la énième fois par son père, dans cette grande maison. En tant que domestique, je n’avais pas mon mot à dire, mais j’aurais voulu le défendre un peu plus. Lui-même m’a supplié de ne pas intercéder en sa faveur, de peur que je ne sois renvoyée. Lorsqu’il appelait « Rosa ! Rosa ! Rosa ! », j’accourais pour savoir pourquoi il me demandait, dussé-je abandonner la tâche qui m’avait été ordonnée. J’étais celle qui soignait ses blessures lorsqu’il se battait dans les ruelles mal famées de Naples, celle qui égayait ses interminables punitions, celle qui accédait au moindre de ses désirs d’enfant… Après cette fameuse dispute avec son père à propos de son mode de vie, il est venu me trouver et m’a parlé de son désir de s’échapper d’ici, de voler de ses propres ailes. Je l’y ai aidé, pour qu’il puisse enfin vivre sa vie comme il l’entend. J’espère seulement qu’il se débrouille bien… Mon petit Andy. »


Dernière édition par le Ven 4 Jan - 21:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: _Andrea Della Robbia - Allegria || UC ||   _Andrea Della Robbia - Allegria || UC || EmptyVen 4 Jan - 21:57

    Andrea, on l’adore ou on le déteste, tant pour son côté optimiste et débordant de vitalité que pour son aspect de boulet immature. Andy, c’est ce genre de garçon populaire qui cherche à être ami avec tout le monde, sans vraiment aspirer à creuser ses relations. On aimerait lui plaire ou au contraire démontrer aux autres qu’il n’est qu’un moins que rien. Il est sans cesse en train de bouger, virevoltant, tel un papillon, d’un endroit à un autre, d’une connaissance à une autre. Lorsqu’il vous a mit le grappin dessus, si vous voulez vous en débarrasser, rien de plus simple : fermez les yeux 5 secondes. Lorsque vous les rouvrez, il s’est déjà envolé vers de nouveaux horizons ! Andrea se fiche de tout et ne fait attention à rien. La vie, pour lui, se résume à peu de chose : Sex, Drug & Junk Food. Pour ce jeune homme qui n’aspire qu’a rester vautré sur son canapé, devant sa console, en mangeant des chips et en buvant de la bière, les problèmes de la vie quotidienne du genre « OMG ! Il faut que je paye les factures ! » ou « Merde ! J’ai plus de shampoing ! » sont à des années lumières de ses préoccupations. En vérité, il se rend compte de ces « petits détails » lorsque l’électricité, le téléphone et l’eau chaude se coupent, ou quand ses cheveux commencent vraiment à sentir comme la pizza abandonnée sous le canapé il y a un mois. C’est là qu’il décide de réagir. Il prend son courage à deux mains, se lève de son canapé en trébuchant, se traîne jusqu’à la porte d’entrée, l’ouvre avec la motivation d’une vache qui va à l’abattoir, traverse le palier à la vitesse d’une tortue qui a une patte cassée, frappe à la porte d’Adam et déclare avec beaucoup de noblesse : « Adam… Tu peux m’prêter du fric pour que j’paye mes factures ? J’ai tout claqué en jeux vidéos… » ou encore : « Adam… Tu m’prêtes ton shamp’ ? J’en ai plus. » Et il repart en sens inverse pour se rendormir entre les canettes et les poches de McDo. Très héroïque n’est-ce pas. Voici donc l’envers du décor. Pas très reluisant… Hum, hum !
    Mais Andy n’est pas qu’une grosse larve. C’est aussi un gros fêtard. Dragueur, sûr de lui, enthousiaste, drôle et franc, il est le partenaire idéal pour prendre une bonne grosse cuite sur le dancefloor suivie de deux ou trois rails pour tenir le coup jusqu’au matin. C’est beau la vie envisagée du point de vue du bel italien. Car pour lui, la vie n’est rien qu’autre qu’un immense terrain de jeu. Ce bon vivant, naïf et délirant, est le compagnon de toutes les conneries, de toutes les escapades foireuses. « Hey, Andy ! Tu viens, on va faire un concours de celui qui pisse (ou crache) le plus loin ! » « Ouais ! Génial ! J’arrive tout de suite ! » Vous voyez le genre ? En fait, c’est encore un gamin immature.
    Au niveau relationnel, Andrea ne cherche pas de complications ou de chemins tortueux pour arriver à une conclusion, il va droit au but, franchement, sans tergiverser pendant trois heures. Il n’est pas comme toutes les filles qui font des sous-entendus obscurs pour dire quelque chose. Pas de chipotages avec lui. Ce trait de caractère peut être considérer comme une qualité ou comme un défaut. Tout dépend du sujet. Evidemment si c’est « Nan, laisse tomber, t’as aucune chance. T’es bien trop moche pour sortir avec ce type. Même moi j’voudrais pas d’toi. » Là, ça jette un froid. Mais bon, on finit toujours par le pardonner, parce qu’il est mignon et complètement dingue. Calculateur en herbe et incapable d’aligner trois mots cohérents entre eux, il fait rire, détend l’atmosphère et attire de par son attitude exubérante. Andy s’amuse d’un rien et est intéressé par la moindre petite chose, si insignifiante soit elle. Il donne sa chance à tout le monde, même s’il est souvent abusé.
    Mais attention ! Andrea peut être sérieux. Oui, vous avait bien lu. Il peut le faire ! Mais à une condition seulement : s’il bosse. Andy devient alors un bourreau de travail, un monstre de sérieux, une machine à brasser la paperasse, l’Attila des articles de presse et des clichés scandaleux, le Napoléon de la filature, des trafics en tous genres et du maniement des armes à feu. Là, ça rigole plus. Dans son habit de journaliste, il devient un pro de la plume : il y a du génie et de l’unique dans ses articles. Ses photos sont réussies et toujours véridiques. Dans la peau d’un voleur, le jeune homme exécute les ordres à la lettre, sans discuter, en ajoutant sa petite touche perso pour parfaire le plan. Drôle d’animal, non ?
    Une des particularités d’Andrea est d’illustrer à merveille le proverbe « Entre le génie et l’imbécile, il n’y a qu’une mince feuille de papier. » C’est vrai que cet espèce d’excité border line peut passer pour le dernier des crétins tant ses propos sont illogiques et naïfs. Mais pourtant, il semble si idiot que son comportement dépasse l’entendement. Sa logique est telle que, pour toute personne normale ou dotée d’une intelligence hors norme, décrypter ses intentions ou anticiper ses agissements est impossible. Lui-même brouille les pistes en parfaite innocence, ouvrant des yeux ronds lorsqu’on l’accuse de manipulation ou de mensonge. Il change d’avis comme de chemise, ce qui ne facilite pas les choses. Ainsi, beaucoup le soupçonnent d’être en fait un surdoué qui prend un malin plaisir à manipuler et se jouer du monde. Pourtant, croyez-le ou pas, Andy ne calcule rien du tout : il se laisse simplement ballotter par le courant de la vie. Alors, génie ou idiot ?
    Andrea possède un merveilleux sens de déduction et d’analyse, même s’il semble arriver à toutes ces conclusions par hasard. Il a du flaire lorsqu’il s’agit de ragots, de scandales, de drogues et autres magouilles légales et illégales. Cette qualité fait de lui un journaliste et un voleur hors pair, très demandé.
    C’est notamment à cause de tous ces facteurs que certains le trouvent insupportable et ne veulent que sa mort. Des ennemis, il en a à la pelle, sans même s’en rendre compte. Jalousie, haine et balles de revolver sont dans son rayonnant sillage sans, comme par miracle, l’atteindre lui et son aura solaire.


    IV. Histoire.

  • Origine | Nationalité : Andrea est né à Milan, Italie, de deux parents Italiens. C'est un pur Latin Lover !
  • Histoire : Décrivez l'Enfance, l'Adolescence, ou encore la vie active de votre personnage s'il est Majeur, etc. Ajoutez quelques anecdotes, son cadre de vie, etc. Un Minimum de 30 lignes est demandé.
  • Famille : Décrivez brièvement les Membres de la famille de votre Personnage, en y ajoutant quelques relations.


    V. Autre.

  • Quel Camp : Andy est du côté de ceux qui lui rapportent de l'argent, sans vraiment adhérer à l'un ou l'autre camp. Cependant, vu son ancienne appartenance à la pègre londonienne, il partage des affinités avec le groupe des voleurs.
  • Groupe : Médias.
  • Ses Rêves et Ambitions pour l’Avenir : Andrea a pour ambition de devenir le journaliste le plus célèbre et le plus fashion de Londres. Il aimerait prouver à ses parents, surtout à son père, qu'il n'est pas que l'adolescent raté qu'ils ont connu, qu'il est capable de faire quelque chose de sa vie. Malgré son caractère volage, ça lui plairait de se stabiliser avec quelqu'un de responsable, histoire d'oublier les putes, la drogue et l'alcool.


    VI. Questions Hors-Jeu.

  • Comment avez-vous découvert ce forum ? C'est Miru qui m'a donnée l'adresse. (L)
  • Comment trouvez vous le Design de ce forum ? Vraiment très joli ! La bann est vraiment agréable à regarder et j'aime bien ce fond à rayures !
  • Comment trouvez vous l'intrigue de ce forum ? J'aaaaiiime ! Un mystérieux voleur, des flics qui pédalent dans la semoules, des médias hystériques... Que demande le peuple ?
  • Avatar : Alex Pettyfer.
  • Avez-vous lu le Règlement ? Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven Like a Star @ heaven
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